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LE GRAND PATRON

Film écrit et réalisé par

Jean-Marie Cayet

SYNOPSIS

Raymond LARIEUD surnommé le Grand Patron vient de décéder à la prison des Baumettes à l’âge de 82 ans après 8 années d’enfermement sous haute protection. Ce vieux Monsieur fut en son temps connu pour ses faits d’armes et ses implications sulfureuses au sein de la mafia Marseillaise, mais aussi pour la détention importante de casinos et autres investissements immobiliers qui l’ont enrichi. Bien que très entouré à l’époque, la justice ne lui connait aucune descendance, elle missionne alors un bureau d’avocats spécialisés dans la recherche d’héritiers. Un jeune maitre du barreau employé depuis 6 mois se voit confier cette délicate mission ; trouver les proches parents du vieux truand. 126 personnes seraient susceptibles de toucher sa fortune, mais combien sont-ils vraiment à prétendre sa succession, et quelle succession ?

L'histoire (en préparation)

Marseille par un beau matin d’été, Pierre-Georges se rend à son travail, au Cabinet SANTINI comme chaque jour pour y effectuer ses tâches quotidiennes ; il salut par un baise main Véronique, la secrétaire en affichant  un sourire flatteur, « toujours en beauté Véro » et entre dans son bureau, il pose son attaché caisse, retire son manteau et pose son écharpe sur le dossier du fauteuil. Alors qu’il s’apprête à s’asseoir, le téléphone retentit, c’est Véronique : « Monsieur vous  êtes demandé dans le bureau de Monsieur Santini à l’instant ».
Il sort de son bureau, parcourt le grand couloir et frappe à la porte du bureau de son patron ; Monsieur Santini est entouré de son responsable et d’un inspecteur de police, lui-même accompagné d’un collègue avec un brassard "police". Il est invité à s’assoir, on lui propose même un café qu’il accepte avec plaisir, son patron présente l’inspecteur Henri Teyac spécialiste en affaires criminelles et l’officier de police Bertrand Lefloch. L’inspecteur Teyac lui expose alors les faits durant une bonne heure, et enfin Monsieur Santini l’informe qu’il est choisi pour rechercher les proches héritiers de ce grand truand Marseillais décédé aux Beaumettes une semaine auparavant,  c’est  le Ministère de la Justice qui a choisi ce grand cabinet qu’il représentera en se montrant digne de cette mission.
Ce dernier s’étonne du choix de son patron en lui confiant cette affaire, alors que d’autres collègues semblent plus compétents et plus anciens dans l'agence, néanmoins en opportuniste, il accepte ; l’officier de police, avec l’approbation de l’inspecteur, son supérieur, lui remet le dossier personnel de ce vieux truand afin qu’il s’informe sur ce personnage.

A la lecture du dossier et après avoir fait des recherches sur internet... 4 personnes sont pressenties héritières possibles : une demi-sœur prostituée, un demi-frère prêtre catho, facho et d’origine Maghrébine, un demi-frère pizzaïolo avec un semblant d’accent italien et enfin le plus jeune, un truand, retiré en Corse, qui semblerait être son fils issu d’une relation avec une jolie femme Corse qui attendait un enfant de lui mais qu’il ne voulut jamais reconnaître.
On imagine les péripéties de notre jeune avocat transformé en détective prêt à rencontrer des individus pas très catholiques.

 

Les décors :
-   La grande tour bleue à Marseille près des docks

(lieu de travail de Pierre-Georges)
- Quartier de Marseille dans une rue sombre (Prostituées)
- Une église perdue dans un petit village de montagne (le prêtre)
- Un camion pizza sur le bord de mer (Pizzaiolo)
- Un grand Mas avec piscine en Corse (son fils)